L'Art d'Ecrire: mes 5 pages préférées.

Coucou tout le monde.

Aujourd'hui je vais vous parler d'écriture.

Depuis quelques temps, écrire et lire m'apportent beaucoup plus qu'avant; cela me permet de m'évader ou d'exprimer mes sentiments.
Je vous ai déniché sur Facebook cinq petites merveilles, qui pour l'instant ne sont pas très connues mais, je pense, vont très vite l'être. Je trouve que les auteurs ont beaucoup, beaucoup de talent.
Toutes parlent d'amour, de rébellion, de rancoeurs et autres sentiments très puissants. Lorsque que je les lis, ou même écoutes et regardes (car certaines font des vidéos!), je ressens des émotions très fortes, je ressens les mots, vous comprenez? Cela ne m'arrive qu'avec certaines choses, et leurs textes en font partie.
Bon! Assez parlé, passons à ces fameuses pages.

TOUS LES TEXTES PROVIENNENT DE CES PAGES ET DE LEURS AUTEURS, IL EST DONC INTERDIT DE LES PLAGIER. Il faut savoir que je leur ai demandé avant de prendre ces textes. Merci de votre compréhension. :)

Tout d'abord, « Begin by the end. »

Ça me bouffe, me mine, me ronge, me défonce, me fauche, m'épuise, m'use, me ruine, m'anéanti, m'affaibli, me brise, me détruit, me bousille, me démoli, me massacre, me tue, me flingue, m'asphyxie, m'assassine. Ça m'donne envie de vomir, de gerber, de dégueuler, de cracher, de dégobiller. Je te haïs, t'exècre, t'abhorre, te maudis, te méprise. Tu me dégoûtes, me répugnes, m'écœures.
Je me déteste de t'aimer, mais ce que je déteste encore plus c'est cette personne que tu es. Et c'est un dégueulé de mots et de haine que je te jette au visage. ©

Ensuite, A l i e n.

Tu vois, c'est pas ça la vie.

La vie ça n'signifie pas de laisser couler son corps sous les problèmes. C'est pas non plus d’assécher son sourire pour laisser paraître des larmes.

La vie ça a quelque chose de dingue, c'est un truc de fou, de timbré. Tu vois, il te suffit d'te réveiller un matin et d'effacer tout le reste, tout c'qui t'brûlait la peau d’antan.

J'te jure il suffit de sortir de ta couette et d'pousser des cris de rage, des hurlements de vie. Et là, là tu sens ton cœur battre à toute allure et tu peux commencer à tout envoyer péter.
J'te jure, tu as l'droit d'te laisser submerger par la folie, tu as la permission de rire à t'en exploser les côtes, de bouffer à en crever de mal à l'estomac, tu peux aussi aimer, ouais, aimer à t'en mettre partout, à être dégueulassé de sentiments amoureux.
Ouais, mais tu vois c'que j'te dis là c'est rien, c'est qu'une fraction, une microscopique partie de la folie qu'on peut entraîner rien qu'en vivant.

Alors maintenant, tu vas ouvrir tes yeux, arrêter de te larmoyer sur ton oreiller et vivre, putain oui, tu vas vivre. ©

Psychose.

Insomnies. Crises d'angoisse. Peur de tout. Peur de rien. Mal partout. Mal pour rien. Souffrir pour quelqu'un qui n'en a rien à battre de vous. Courir loin. Fuir son passé. Attraper son futur. Frapper. Cogner. Boire. Boire pour oublier. S'couper. Se mutiler. Se suicider. ©

Salope.

Je tremble
Prise de convulsions
Je suis sous pression
Nous étions ensemble

J'ai honte
Je regrette crois moi
De t'avoir aimer comme ça
Je me démonte

J'ai peur
Depuis peu
Trop de douleur
La tu vois, dans mon coeur.

Je t'aime
Je te hais
J'ai froid
Tu n'es plus là

J'en ai assez
De ces regards pesants
Je ne t'ai pas tué
Je ne t'ai pas vidé de ton sang

Dis leur toi !
Que ce n'était pas moi !
Pourquoi tu le fais pas ?
Ah oui, tu n'es plus là !

De folle vous me traiterez
Amoureuse je vous répondrais

Croyez moi, j'l'ai pas tué !
Je peux vous le jurer !

Pourquoi cette corde a mon cou ?
Pourquoi ces gens face a moi ?
Pourquoi il y a le roi ?

Une trappe sous mes pieds
Me menaçait
Je suis tombé
Crois moi, j't'ai vraiment aimé ...  © 

Et enfin, « Burning-out. », ma toute dernière découverte.

Et, j'ai peur. A chaque instant, chaque seconde, j'ai peur que tu t'en ailles, peur que tu te lasses, peur que tu me laisses là, tout seule. Oh tu sais j'comprendrais, j'comprendrais qu'tu veuilles trouver mieux, plus jolie, plus drôle, plus attirante. J'comprendrais que tu finisses par en avoir ta claque de toutes mes petites peurs, de tous mes petits frissons de trouille. Tu sais c'est pas d'ma faute, j'suis p'être encore trop p'tite, un gros bébé comme tu dis, pour pouvoir avancer sans avoir les jambes qui tremblotent. Et pourtant si tu savais comme j'ai besoin de toi, si tu savais comme tu me rends heureuse et souriante, si tu savais comme j'ai peur que tu m’abandonnes; comme les autres ont fait, comme tous les autres font. Tu veux bien rester, dis ? Tu veux bien m'supporter encore un peu, un peu encore ? Dis, tu veux bien m'prendre la main et m'promettre que tu vas pas la lâcher pour qu'j'ai un peu moins peur ? © 

J'ai choisi des textes qui m'ont vraiment touchés pour les représenter.
En espérant que ces pages vont aient plu.
N'hésitez pas à aller voir leurs autres textes tout aussi beaux.
A très vite pour un prochain article.
Profitez bien de vos vacances surtout!

Écrire, c'est aussi ne pas parler. C'est se taire. C'est hurler sans bruit.

                                                                                     - Marguerite Duras.

Écrire, ce n'est pas vivre. C'est peut-être survivre.

                                                                                     - Blaise Cendrars.